MARGUERITE DE VALOIS, dite la reine Margot Un site présenté par Eliane Viennot |
![]() |
accueil
|
vie
|
œuvres
|
légende
|
bibliographie
|
Les ami/es de Marguerite
|
Antoine Du Perier Les Amours de Pistion et de Fortunie… A la Royne Marguerite. Paris, Thomas de la Ruelle, 1606. |
Sur l’épervier qui est aux armoiries. Va dans le Ciel, Épervier, PISTION* n’est pas mort, il n’a que changé d’âme ;
À la Reine Marguerite. MADAME, si Diane d’Éphèse par ses flatteurs oracles se faisait superstitieusement adorer, avec combien plus de respect et d’honneur doit tout le monde, avec moi, porter son cœur à une si grande Reine, qui, étant de toute la terre aussi bien que de la France la seule MARGUERITE, les brûlera au premier aspect des soleils de ce beau et royal visage, d’une violente et légitime affection à son service. Texte établi par Sophie Cinquin, avec la collaboration d'Éliane Viennot (orthographe et ponctuation modernisées; majuscules respectées sauf cas introduisant des confusions). mis en ligne le 12.1.2012 |
|
|
![]() |